четверг, 2 января 2025 г.

A. Kiriyatskiy: Par Nostradamus de la 2e centure

Démocratie    1er troubadour   Mon livre   De celui   En français   Traductions   4 catégories   на русском

Alexander Kiriyatskiy    sur YouTube    на рус. en russe    EXIT



Car les secrets de Dieu incompréhensibles, et la vertu effectrice contingent de longue éstetude de la cognoissance naturelle prenant leur plus prochain origine du libéral arbitre, faict apparoir les causes qui d'elles mêsme ne peuvent acquérir celle notice pour êstre cogneus, ne par les humains augures, ne par autre cognoissance, ou vetru occulte, comprinse soubs la concavisé du Ciel mêsme, du faict présent de la totale éternité, qui vient en soy embrasser tout le temps. (34-36. Préface de M. Nostradamus à ses Prophéties. Ad Caesarem Nostradamum filium, Vie et félicité.)

Car les secrets de Dieu sont incompréhensibles, et la vertu causale touche à notre longue attente de la connaissance naturelle, prenant son origine la plus immédiate dans le libre arbitre et fait apparaître les causes qui ne peuvent d'elles-mêmes faire acquérir cette connaissance pour être révélées, ni par les interprétations des hommes halitueux, ni par un autre mode de connaissance, ou un vertu occulte, comme sous la voûte céleste, du fait présent jusqu'à la éternité totale qui embrasse la globalité du temps. (34-36. Préface de Michel Nostradamus à ses Prophéties. À César Nostradamus fils, pour la Vie et pour la félicité.)

    Providence de notre Porte et l'autre ordre

              (en russe)

Dieu crée toutes nos dimensions, par leurs seins des matières cosmiques.
Comme aux étoiles, aux planètes donne Ses vies dans l'espace physique.
Leurs raisonnables envoient, à Dieu, leurs prières symboliques.
Chaque énergie naît divine, car passe sans cauchemar diabolique.

Mais je suis un philosophe des pécheurs, sans raison d'action.
L'on trouve l'abîme des questions sous la règle des traditions.
L'île de leurs cultes part. L'heure obscure rêve des répressions.
Son pain rassis perd ces phrases des mortels, par les combustions.

L'homme trouve la tombe des Fois par leurs dogmes au Moyen Âge.
Et ses serments ne sauvent pas. Pour leur fidélité en rage,
Griffent, contre Dieu, le mensonge, la foudre des maux images,
Que, par six jours, Dieu forma l'Univers, pour nos grands dommages.

Le paganisme hébreu n'a pas pu savoir l'Univers,
Car ses légendes enlèvent nos poètes classiques, par les vers,
À son Adam, l'on rejette toutes les sciences par leurs enfers
Des relations médiévales, où descend l'obscure âme dernière.

Les juifs limitent Absolu par les ombres grises sur la Terre.
Leurs sous-hommes croient en trois livres, en trois religions sévères,
De cette façon de leur diable, "daignent" l'explosion des chimères,
Car leurs symboles vêtements vivent pour nos folies populaires.

La connaissance d'Égypte, la vole Moïse non sur Sion.
Ce roi hébreu manifeste l'exil des malédictions,
Car il a dit à son peuple que l'homme pur vit pour l'union
Libre avec Dieu comme Ra égyptien des circoncisions.

Dieu ne lui ouvre nulle révélation vraie comme à Platon,
Ne soutient nulle phrase des voleurs d'idées hors leurs trônes.
Qui connait bien Absolu, n'était adoré par personne
Et, comme Socrate, ne se divinise pas, s'oppose aux couronnes.

Qui entend Dieu en soi, pour les gens trouve ses sincérités.
L'on conduit le mensonge de Moïse vers la fidélité
Trop fanatique aux récits bizarres contre nos vérités.
Ce mythe stupide du menteur cultiva notre mutité.

Dieu est l'Amour, Il répond aux chansons et invite la Foi
Vers la paix, non à la guerre infernale opposée aux lois.
Dieu nous dévoile que beaucoup de "prophètes" mentent pour les droits
Des religions, vont "Chez toi, oh Souris" (1) en hébreu des rois.

Les télépathes chassent nos mots des parfaites communications.
Qui n'a ni bras, ni pied pour avoir notre crucifixion,
N'a aucune chance sur les paradis faux sans nos notions?
Pour la lecture des idées, le maudissent nos trois religions,

Toutes les croyances aveugles (des juifs musulmans chrétiens)
S'opposent aux saintes âmes des autres planètes, mais rejettent leur Bien.
L'extraterrestre raison n'a nulle croix et chaque clair chemin
Sans leurs mémoires n'est jamais raisonnable et ne coûte rien?

Crois que le fils de Marie est né du Saint Esprit Sauveur,
Se lève sa Résurrection. Par celle, Il devient le vainqueur,
Du temps obscur, il allait aux hommes par le libérateur
Des gros barbares. Pour eux, Christ nous explique ce trésor des peurs.

La quantité infinie des divins fils l'a l'Univers,
Montre leurs buts aux civilisations cosmiques à travers
Nos multiformes qui veulent s'approcher d'Absolu pour faire
Ses harmonies très partielles, où naissent leurs mêmes fils divers.

L'ordre vitesse de leurs temps fait céder aux réels rapports,
Mais la folie divinise nos stupides traditions des corps.
Et les bougies s'obscurcissent sous les lampes. Chaque temple, hors
De nos symboles, est l'idole. Dieu excuse, malgré nos mots morts.

    ________________________________________
    (1) "Chez toi, oh Souris - alàkh akbàr" en hébreu




          Al. Kiriyatskiy en russe

2.23 Palais, oyaseau, par oyaseau deschassé,
Bien tost après le prince parvenu:
Combien qu'hors fleuve ennemi repoussé
Dehors saisi trait d'oyaseau soutenu.

(2.23 Au palais, se remplace l'oiseau déchassé,
Tard, bientôt combien d'eau, le prince est parvenu?
En dehors des fleuves, l'ennemi s'est stressé,
Car le trait de l'oiseau est saisi et soutenu.
)

(Nostradamus 1555)

Modifie le Globe Terrestre,
Chère machine du temps, orchestre
    Par le vingt troisième
Siècle, sa vitesse énorme
Change et explose les formes
    Tous deviennent leurs crèmes.

Au passé, l'action stupide
Bat la vie! Par celle si vide,
    L'autre prévision
A quel but? L'espace amène
Aux questions: "Aux âmes humaines
    Dieu donne le grand trône?"

Dieu est en dehors des ordres
Du présent. Le temps peut mordre
    Les imperfections.
L'homme n'était jamais l'image
D'Absolu. Rompt son voyage,
    Toutes ses illusions.

À l'ère chaude Mésozoïque,
L'homme est dans sa fantastique
    Digne machine du temps.
Pour manger, tue une mouffette.
Celle-ci ne donne pas ses bêtes
    Pour remplir les champs.

Le futur ira par l'autre
Route qui ne sera plus notre
    Règne des mammifères.
Les reptiles mangèrent l'ancêtre
Des souris pour ne pas être
    L'homme sur notre Terre

Au cerveau des raisonnables,
Que l'oiseau fasse sa plus stable
    Civilisation,
Sous le bec est la poitrine,
Leurs croyances sont divines,
    Veulent dire à l'homme: "Non!"

Le destin de la nature
Des oiseaux crée sa peinture.
    Leur bouche c'est leur bec.
Car l'époque des dinosaures
Ferme nos voyages sans heures
    Que mon sang soit sec.

Au passé, notre mesure
Du temps ouvre nos blessures,
    Dieu corrige l'histoire,
Cache nos dangereux ouvrages,
Ne laisse pas à l'équipage
    De faire ce cauchemar.




        Al. Kiriyatskiy en russe

2.28 Le penultièsme du surnom du prophète
Prendra Diane pour son jour et repos:
Loing vaguera par frénétique tête,
Et délivrant un grand peuple d'impôs.

(2.28 Le pénultième surnom du prophète
Prendra Diane pour son jour de repos:
Et loin voguera par la frénétique tête,
En délivrant un grand peuple de l'impôt.
)

(Nostradamus 1555)

Chaque vingt cinq siècles, Dieu crée, // tourne la Drachme en route,
Son invisible moteur // de nos esprits, trouve l'union
Par les niveaux des étoiles // L'innovation nous écoute,
Celle-ci reflète tous les temps // pour l'infinie rotation.

La subconscience de l'homme // prend les idées de sagesse,
Fait diriger la planète, // par seules les femmes en raison
Qui sauvent la télépathie,// l'ordre des enchanteresses,
Coulent la lumière de la lune // plaine, à la méditation.

Le troisième œil de Dhyâna // donne la frontière, par sa ride,
Entre deux indépendants // de nos conflits. En sanskrit,
La prophétesse l'a prévu // dans les douleurs d'Atlantide.
Pour le futur de nos races, // sa prophétie est décrite.

Nos malheureuses âmes en feu // quittent, en futur, notre Terre,
Nostradamus nous conduit // par les antiques souvenirs.
Et quel destin nous attend? // L'œil de Dhyâna doit se taire,
Dont je démêle son mystère // qu'il ne faut pas revenir.

Sans mal, l'un est l'animal, // l'autre nettoie sa conscience.
Mais tous savent lire les pensées // de tout le monde partout.
Qui a des ailes, perd ses pieds // par leur belle indépendance
Pour séparer ceux tombés // et ceux qui ont le bien doux.




    Al. Kiriyatskiy en russe

2.41 La grand' éstoille sept jours brûslera,
Nuée fera deux soleils apparoir:
Le gros mastin toute nuit hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir.

(2.41 Pendant sept jours, la grande étoile brûlera,
Car son nuage obligera deux soleils à apparaître
Toutes les nuits, le gros chien hurlera,
Le grand pontife changera la terre pour naître.
)

(Nostradamus 1555)

La flamme orageuse des comètes brûlera l'atmosphère,
Les villes tomberont, l'homme habitera sous leur terre.
En raison de l'air chaud, un chien hurlera sous les murs.
Leurs grottes sauveront la vie à travers les sous-sols obscurs.

L'attaque des météores ouvrira leur nouveau siècle dur,
Alors que deux soleils couvriront l'enfer par nos blessures.
Les individus choisiront les élites en mystère
Avec un prophète pour sauver, par nos âmes, leur lumière.

Titan de Saturne deviendra le but des navires
Spatiaux, ses robots tenteront de construire
L'énorme station pour faire là, par le méthane, l'oxygène.
Mais la coupole ne défendra plus nos maisons humaines.

Et l'être devra habiter dans leurs villes souterraines,
Où, comme le loup, criera un chien sous les antennes
Sans vie. Son urne paraitra une prison pour souffrir.
Nos rêves ne seront que le ciel, comme le cosmos de Sir.




    Al. Kiriyatskiy en russe

2.62 Mabus (1) puis tost alors mourra, viendra,     1 (en miroir - sudaM)
De gens et beste une horrible défete
Puis tout à coup la vengeance on verra,
Cent, main, soit, faim, quand courra la comète.
.

(2.62 Alors que Saddam mourra plus tôt, viendra
Une défaite horrible des gens et des bêtes:
Puis, tout à coup, la vengeance, on verra,
Que cent mains aient faim, lorsque courra la comète.
)  

(Nostradamus 1555)

Nostredame décrit // l'aujourd'hui sévère,
Où ce scle a // soif des autres guerres.
Dans les pays sauvages, // passe leur l'Âge de Pierre,
    L'art de chimères.

L'occident a peur // de leur haine profonde.
Qui a faim d'argent, // unira ses ondes
Contre l'industrie // de nos vies secondes,
    Par tout ce monde.

Manque l'or droit sur // leur reconnaissance,
Nulle consécration // des perdus sans chance
Idéalise Saddam // en l'Europe, en transe,
    Sans indulgence.

Tous voient la raison // d'être, pour laquelle,
Son Coran formule // quelle croyance belle
De l'âme rejetée! // Nt tel vite modèle
    Des morts fidèles!!!

Nos Diplômes d'Europe // nous annulent Leurs Titres,
Sont comme mes carnets // de libre arbitre,
Leur mafia oblige // à faire leurs pupitres,
    Rompt sous ses vitres.

Que nos Masters Deux // de toutes vos Sorbonne
Distribuent, partout, // les réclames mignonnes
Sous la pluie sans fin, // l'esclavage pomponne
    Quelles richesses bonnes!

Et nos professeurs // portent la réclame,
Ne sont pas entrés // dans le gris programme
Des États Unis. // Qui oublie leurs drames,
    Aide à Saddam, et

Coule les lacs salés // très froids dans nos bottes,
Lorsque je me trne, // les buts pilotent.
Mon corps se mouille pour // la réclame idiote:
    "Gt de biscottes".

De l'aube à la nuit // doit tomber l'averse.
Mais la Vie trempée // se vend aux commerces,
nos larmes chaudes // ont leurs causes diverses,   
    Aux vents se versent.

Les douleurs s'abaissent. // Sur ses pierres dures,
Tu ne chemines plus... // Tirent plusieurs piqûres.
Aux gazons, l'on voit // l'herbe douce. Ses cures
    Sont moins obscures.

Devenons misères! // Les revues pesantes,
Dans les "publie-sacs" // noirs nous alimentent,
L'escalier amène // aux Riches qui nous mentent,
    Montrent leurs plantes.

Sous Leur pOrte est // une chaise en plastique,
Ce miracle jette // le plaisir cosmique
Aux esclaves mouils // Le chauffeur panique:
    "Levez vos cliques!"

Donne nos yeux aux pieds! // Nos passions reviennent.
Deux genoux calculent // chaque coup de mes veines,
Appart Saddam, // retiennent leurs chnes,
    Sonnent nos sirènes.

Nostradame prédit // les effervescences
Du temps relatif. // L'homme sans expérience
Ne doit pas savoir // toutes ses providences
    Comme leur absence.




   Al. Kiriyatskiy en russe

2. 75 La voix ouye de l'impolit oyseau
Sur le canon de respiral éstage
Si haut viendra du froment le boisseau,
Que l'homme d'homme sera Antropophage.

(2. 75 Entend la voix de l'impoli oiseau
Sur le canon, où respire chaque étage:
Car le froment haut viendra du boisseau,
L'homme mangera l'homme en Anthropophage
.)

(Nostradamus 1555)

La forêt infinie voit le champ de froment,
     Le bonheur du miracle en rage,
La couleur des épis vous éduque un enfant
     Qui respire, dans le ciel, par chaque âge.

Les tentures transformèrent son plancher de l'enfance,
     Dans l'image du jaune adolescent,
Son chemin s'attira, par sa reconnaissance,
     À l'heure de l'espionnage et descend

Au jeune homme qui écoute ses chanteurs populaires.
     Dans chaque mal, dort l'abime des ordures.
Mais l'absence de Muse a les voix de chimère,
     Se soulève par plusieurs aventures.

Par-dessus des fenêtres volaient les corbeaux,
     Sur l'appui s'est assis l'un des freux.
Celui-ci interdit de donner un verre d'eau
     Aux derniers, qu'ils soient morts malheureux.

Au Monarque au trône toute la Terre se soumet,
     Tous les autres hommes sont les zéros.
Sans lumière, sa couronne saura être charmée
     À travers nombreux ordres très gros.

Il prendra le pouvoir sur beaucoup de pays
     Dans nos ans liés à la liberté,
Brûlera ses amis à l'époque de leur nuit,
     Notre être devra s'abonder.




    Al. Kiriyatskiy en russe

2.81 Par feu du ciel la cité presque aduste,
L'urne menace encore Ceucalion,
Vixée Sardaigna par la Punique fuste,
Après que Libra prend son Phaëton
.

(2.81 Par le feu du ciel, la cité se brûle, car saigne
L'urne qui menace, encore, Deucalion,
Par sa Punique des Vaisseaux, est en Sardaigne,
Plus tard, leur Balance prend son Phaéton.
.)  

(Nostradamus 1555)

Mais trois mille ans passeront et sept cent quatre-vingt-dix sept
De la naissance de Christ, les météores brûleront la tête
De la plastique ville en gomme. Sa coupole, sous la Terre sans bête,
Ne défend plus du soleil mais chasse l'homme des sous-sols au front

Contre le fleuve en métal et à l'Ordre de Deucalion.
L'Art des croyances dira pourquoi s'est explosé Phaéton
Entre le Mars et le fluide Jupiter pour donner la chance
Aux mammifères de faire l'homme à la constellation Balance.

Notre élu montrera ses étoiles des Gémeaux, l'urgence
Aux raisonnables perdus leur patrie et leur rêve dernier
Qui attendra l'aide des constellations du Cancer, est lié
À l'illusion sur la Terre, car cette vie est trop éloignée.

L'air sans coupole rompue nous enverra les rayons des nuits,
Les mutations génétiques aimeront sa sociale hernie,
Refuseront le prophète au pouvoir du menteur fourni.
Et soutiendront leur tyran qui voudra voler au Saturne.

La Providence prédit le destin de son être diurne
Sur le Titan, où ce culte devra tomber dans son urne,
Lorsque la constellation de Balance brûlait le Phaéton pour nous,
Dieu a prévu que, parfois, l'homme devait être à genoux.

L'imperfection des pécheurs tomberait avec l'ordre mou,
Si nos stupides jetaient cette prophétie, par les animaux
Dans l'atmosphère du Saturne. La constellation Gémeaux,
Fait la lecture des pensées provoquer nombreuses guerres sans mot.




Al. Kiriyatskiy en russe

2. 91 Soleil levant un grand feu l'on verra
Bruit et clarté vers Aquilon tendant:
Dedans le rond mort et cris l'on orra
Par glaive, feu, faim, mort et attendant.

(2. 91 Le soleil qui lève un grand feu, l'on verra
Le bruit et la clarté vers Aquilon tendent:
Dans le rond mort et les cris l'on aura
Par leur glaive, feu, faim et mort ils attendent.
)

(Nostradamus 1555)

Vers l'incendie dernier, les ventres
De nos vaisseaux cosmiques veulent prendre
     Nos plantes et nos animaux.
     L'invite Saturne au Titan,

Fait une station, car sait comprendre
     L'homme qui décrit, par les forts mots,
     Qu'il a sauvé tous les rameaux
     De notre vie chère qui l'attend.

     La Terre cache ses bateaux étant
Dans une trémie qui est l'armoire
Sous une montagne. Partout, sans gloire,
     Sous ces feux morts il n'y a nul ciel.

     Sa lave détruit l'esprit rompu.
Mais nous supprime toutes les mémoires.
     L'espoir, comme le passé partiel,
     S'oublie sous notre poids mutuel.

     Mais les cerveaux perdirent leurs rues
     Derrière nos dos. Le mal a pu
Dicter le culte d'une personne.
Et sa télépathie couronne

     Le règne qui semble absolu.
     Dans ces vaisseaux, leurs gens quittaient
La Terre brûlée. Et par le trône,
     Toutes les pensées humaines sont lues

     Et la fusée vole dans leur flux!
     Mais, à genoux, l'humanité
     Aveugle ne peut plus goûter
Notre beauté d'indépendance.

Il est Dieu, notre Providence.
     L'homme imparfait endure son tort
     Du temps bref de la dictature.
Mais le Titan cesse son échéance.

     Ce grand voyage finit, la mort
     Arrive au dictateur, son corps
     Descend dans l'atmosphère du pur
     Géant Saturne en dehors
     De leurs souffrances, hors des murs.




Al. Kiriyatskiy en russe

2. 95 Les lieux peuplez seront inhabitables,
Pour chans avoir grande division:
Règnes livrez à prudens incapables,
Lors les grands frères mort et dissention
.

(2. 95 Les lieux peuplés seront inhabitables,
Pour chanter leur grande division:
Livre les Règnes aux prudences incapables,
Mort des grands frères par la dissension
.)

(Nostradamus 1555)

L'âme de vie prolonge l'être, fait changer l'air d'atmosphère
Du Titan Saturne crée l'homme qui a laissé la Terre!
Les nouveaux concepts nous montrent la station particulière,
Où dans le passé, sans diable les Atlantes s'en sauvèrent.

Le cerveau de cette planète envoie vite, aux cellules en fluide,
La mémoire et la conscience du dernier prophète. Nous guide
Vers l'ère qui nous débarrasse de chaque émotion hybride
D'animal. Sans mal, nos sciences des hommes et nos arts sont vides.

Les individus s'unissent dans leur claire macro intellect
Qui n'a pas besoin des prix comme des punitions d'affect.
Sans raison, l'autre plupart a peur et veut tuer tous ses mecs
De la pure télépathie, prévision antique des grecs.

Et Saturne raisonnable, croit que son homme animal
Ne vit pas sans ennemi, car son but n'est pas sans mal.
Il prie Dieu que Jupiter ne nous ferme pas l'étoile,
Pour l'obscure Titan afin de nous voler, où Dieu dévoile.

Tous lisent les pensées des autres et transforment leur acteur
Dans ce sacrifice de torts responsable de l'erreur.
Dont ses funérailles déversent le pardon par les rêveurs
Qui brûlent le pouvoir du trône et cessent d'être les pécheurs.

Cette nouvelle lumière sépare dure les gens pures et leurs sauvages,
Que pendant certaines années, le Titan fasse le passage
Des hommes de conflits aux Êtres Raisonnables sans ombrage,
Aux constellations de l'autre galaxie, fixe leur voyage.

Les hommes modifient leur monde intérieur pour faire l'union,
L'harmonie prend l'Univers galactique dans les chaînons,
Absolu permet aux âmes de sentir les prévisions
Et sa providence brame que, de Dieu, nous l'obtenions.




2. 02 La teste blue fera la teste blanche
Autant de mal que France a fait leur bien.
Mort a l'anthenne grand pendu sus la branche,
Quand prins des siens le roy dira combien.

(2. 02 La tête bleue se fera cette même tête blanche
Autant de ce mal que la France leur a fait leur bien.
Le grand mort est pendu. Il a l'antenne sous la branche,
Lorsque, aux princes des têtes, le roi dira combien
.)

(Nostradamus 1555)

Nul ordre

Ces esclaves, nous parlons,
Ont construit Babylone
À travers les boulons
    Sur le Tibre.

Reconnu est le roi,
Aujourd'hui, c'est pourquoi,
Et je n'ai aucun droit
    De l'âme libre.

L'Existence parfaite
Tue mon vers, car Rejette
Ce récit du poète
    Par quelle fibre

Des menteurs et Pratiquent
L'obtention fantastique
Pour l'asile politique.
    Cette vie vibre

Entre les exigences
Des lieux qui donnent une chance
De monter. L'expérience,
    Qui existe,

Dit: "J'ai peur des tyrans,
Lorsqu'il faut, pour l'argent
Comme il y a quarante ans
    Vers l'heure triste."

Un vieillard canadien
M'a rompu mon destin.

Il s'appelle Michel Venne
    Journaliste.

Il défend quels fidèles
Aux pouvoirs, où le ciel
Ne plaît plus au bordel
    Des artistes.

L'heure rôle fort des acheteurs
Te conduit au bonheur
À quels riches demandeurs
    De l'asile.

Qui est persécuté,
Bat leur sécurité,
Rompt, par la vérité,

Qui dévoile leurs bougies,
Sans aucune énergie,
L'entraîne sa mort, agit
    Dans les villes.

Je deviens dangereux
Aux bourreaux trop heureux,
Sur leur feu, coule l'hébreu
    Ce jaune huile.

Lorsque, comme au bandit,
L'état juif m'interdit
De faire tout, Michel dit:
    "Quoi tu chantes?"

Il ajoute: "Du pouvoir,
Te menace quelle mort noire
Sous le ciel?" Chaque gris
    C'est ma tente.


Il déclare, en même temps,
Ce statut pour une dame
Qui revient, à ses champs,
    Très contente.

Paye non vingt mille dollars,
Afin de recevoir
Cet asile pour l'histoire
    Qui s'invente.

(H040) Et l'autre qui a sa grande confusion & tarde repentance la voudra ruiner, seront trois regions par l'extreme difference des ligues, c'est assauoir la Romanie, la Germanie, l'Espagne, qui feront diuerses sectes par main militaire, delaissant le 50. & 52. degrez de hauteur (H041) feront tous hommage des religions loingtaines aux regions de l'Europe & de Septentrion de 48. degrez d'hauteur, qui premier par vaine timidité tremblera, puis les plus occidentaux, meridionaux & orientaux trembleront, (H042) telle sera leur puissance, que ce qui se fera pas concorde & vnion insuperable des conquestes belliques. De nature seront esgaux : mais grandement differents de foy...

(H040) Le deuxième d'ailleurs à la confusion de celui-ci premier, n'hésitera pas à vouloir le ruiner et aura 3 pays adhérents des ligues distinctes, à savoir l'Italie, l'Allemagne et l'Espagne qui enfanteront leurs divers partis militaires. Ces mêmes ligues seront, malgré leurs ressemblances extrêmement différentes, de côté en laissant le 50e et le 52e degré de l'Angleterre, (H041) et ces états feront certaines hommages aux religions lointaines, on aura lieu surtout du 48e degré à l'Europe du Nord, où malgré des accords de paix, l'on commencera à trembler. (H042) &Puis tremblera presque l'Europe entière jusqu'aux pays les plus occidentaux, les plus méridionaux et les plus orientaux en Russie. Leur puissance sera telle qu'ils réaliseront des alliances et des unions invincibles par leurs conquêtes guerrières. Ces pouvoirs seront militairement égaux de leur nature mais grandement différents de leur croyance....

(Nostradamus, de sa lettre au roi de la France Henry II)




    Staline en Europe

Et en Europe, il n'y a aucune démocratie,
Comme à l'époque du stalinisme en Russie.
Mon nom est dans la liste noire, secrète - "Merci",
Crie mon poème aux yeux des démocrates aussi.

Je suis Sacha, le personnage des "Fils d'Arbate"
De Ribakov. L'on nous sépare des masses en boîte;
Mais ne jette pas dans les prisons, les ordres battent
Pour chaque désir de nous lever parmi les rates.

Nos stalinistes d'occident persécutaient
Les professeurs, partout, aux Universités
Qui essayaient de nous inscrire, l'on leur dictait
De retirer leurs lettres
par leur volonté.

Que l'on ne nous permette jamais de travailler
Sous nos officieux noms parmi les ouvriers!!!
Car sous l'averse, l'on oblige à nous mouiller
Que, comme plusieurs drogués, nous nous mangions derniers.

Que nos espoirs soient décédés dans la souffrance
Que nous perdions, comme les ivrognes, l'indépendance
Des démocrates d'Europe pour son Staline. En France,
Nous les prions, par ses esclaves, leurs indulgences.

Mais si nous soutenions nos thèses, et nous aurions
L'argent des clans pour l'air des gestes sans crayon,
Les rois perdraient leurs responsables des rayons
Illuminés la vérité que nous verrions.

Car toutes mes nuits passaient // dans les foyers des pauvres
Pendant ma vie sans fleurs // en règne d'obscurité,
Que cet enfer produise, // par les douleurs, mes œuvres
Comme ma syllabe en vers // tentait de refléter

Que je n'ai pas mes droits // de travailler par l'ordre,
Et rédiger ma thèse, // n'est pas aide à Genève,
Or, ma recherche en// Europe oblige à mordre
Mon âme pour mes études, // absence de mon rêve.

(H046) & sera au moys d'octobre que quelque grande translation sera faicte, & telle que l'on cuidera la pesanteur de la terre auoir perdu son naturel mouuement, & estre abismee en perpetuelles tenebres, seront precedens au temps vernal, & s'en ensuyuant apres d'extremes changemens, permutations de regnes, par grands tremblemens de terre, (H047) auec pullulation de la neufue Babylonne, fille miserable augmentee par l'abomination du premier holocauste, & ne tiendra tant seulement que septante trois ans, sept moys, (H048) puis apres en sortira du tige celle qui auoit demeuré tant long temps sterille...

(H046) Ce règne sera aussi le plus obscur et le plus ténébreux qui ait été depuis la création du monde jusqu'à la mort et passion humaine et de là jusqu'ici, et ce sera au mois d'Octobre qu'une grande translation aura lieu, à tel point que l'on croira que la Terre a perdu son mouvement naturel et qu'elle sera plongée dans certaines perpétuelles ténèbres. Cette translation sera précédée des signes en Printemps. (H047) Puis s'ensuivront d'extrêmes changements avec des permutations de nos règnes par nombreux grands tremblements de terre (les guerres mondiales) avec quelque pullulation d'une nouvelle Babylone (l'URSS), qui augmentera encore sa puissance par l'abomination du 1er holocauste (la 2ème guerre mondiale) et ce pouvoir ne tiendra tant seulement que 73 ans et 7 mois. (En effet de Novembre 1917 à Juin 1991: date de l'élection de Boris Elstine) l'URSS aura bel et bien duré 73 ans et 7 mois: c'est certaine période équivalente à la captivité du peuple Juif à Babylone. (H048) À la fin de la puissance russe et de ses rameaux, sortira la passion des autres peuples qui était restée si longtemps stérile...

(Nostradamus, de sa lettre au roi de la France Henry II)




        Sans plusieurs masques

Que mon peuple était // contre son grand pays,
L'Amérique démontrait // que les jours sont nos nuits,
Affirmait que l'idée // des communes c'est le bruit.
Son Europe l'invitait, // car l'on n'a pas détruit

Mon État concourant. // Pour lui rompre le dos,
Tous de nos ennemis // ont reçu leurs cadeaux
Par plusieurs prix Nobel // qui faisaient très prudes aux
Mots des vers qui ne coûtent, // aujourd'hui qu'un verre d'eau

Et donnait les travaux // des meilleurs professeurs
Aux stupides soviétiques // qui n'avaient nulle saveur
Par beaucoup d'ans non plains // aux écoles de soudeur:
Pour leur faire des armées // contre l'île du bonheur.

Qui n'avait aucune languE, // sauf le russe, était lié
Aux plus hautes sociétés, // où habitent aux palais,
Car ils ont obligé // la Russie à aller
Vers l'abîme de l'enfer. // À l'Europe, ce pas plaît.

Il n'y a plus mon Union // qui pouvait contredire
Aux Rois illuminés // par le Cosme bien pire,
Au diamant de la dure // hiérarchie en plaisir
Du control sur chaque âme // et du gris souvenir.

 

Alexander Kiriyatskiy    sur YouTube    на рус. en russe    EXIT

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A. Kiriyatskiy: Par Nostradamus de la 2e centure

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