Alexander Kiriyatskiy sur RuTube на рус. en russe EXIT
Car les secrets de Dieu incompréhensibles, et
la vertu effectrice contingent de longue éstetude de la cognoissance naturelle
prenant leur plus prochain origine du libéral arbitre, faict apparoir
les causes qui d'elles mêsme ne peuvent acquérir celle notice pour
êstre cogneus, ne par les humains augures, ne par autre cognoissance, ou
vetru occulte, comprinse soubs la concavisé du
Ciel mêsme, du faict présent de la totale éternité, qui vient en soy embrasser
tout le temps. (34-36. Préface de
M. Nostradamus à ses Prophéties. Ad
Caesarem Nostradamum filium, Vie et
félicité.) Car les secrets de Dieu sont
incompréhensibles, et la vertu causale touche à notre longue
attente de la connaissance naturelle, prenant son origine la plus
immédiate dans le libre arbitre et fait apparaître les causes qui
ne peuvent d'elles-mêmes faire acquérir cette connaissance pour
être révélées, ni par les interprétations des
hommes halitueux, ni par un autre mode de connaissance, ou un vertu occulte,
comme sous la voûte céleste, du fait présent jusqu'à
la éternité totale qui embrasse la globalité du temps. (34-36. Préface de
Michel Nostradamus à ses Prophéties.
À César Nostradamus fils, pour Providence de notre Porte et l'autre ordre
Dieu
crée toutes nos dimensions, par leurs seins
des matières cosmiques.
Comme aux étoiles, aux planètes donne Ses vies
dans l'espace physique.
Leurs raisonnables envoient, à Dieu, leurs
prières symboliques.
Chaque énergie naît divine, car passe sans
cauchemar diabolique.
Mais
je suis un philosophe des pécheurs, sans raison
d'action.
L'on trouve l'abîme des questions sous la règle
des traditions.
L'île de leurs cultes paraît. L'heure obscure
rêve des répressions.
Son pain rassis perd ces phrases des mortels, par
les combustions.
L'homme trouve la tombe des Fois par leurs dogmes
au Moyen Âge.
Et ses serments ne sauvent pas. Pour leur fidélité
en rage,
Griffent, contre Dieu, le mensonge, la foudre des maux
images,
Que, par six jours, Dieu forma l'Univers, pour nos grands dommages.
Le
paganisme hébreu n'a pas pu savoir l'Univers,
Car ses légendes enlèvent nos poètes
classiques, par les vers,
À son Adam, l'on rejette toutes les sciences
par leurs enfers
Des relations médiévales, où descend
l'obscure âme dernière.
Les juifs limitent Absolu par les ombres grises sur
la Terre.
Leurs sous-hommes croient en trois livres, en trois
religions sévères,
De cette façon de leur diable, "daignent" l'explosion
des chimères,
Car leurs symboles vêtements vivent pour nos folies
populaires.
La connaissance d'Égypte, la vole Moïse
non sur Sion.
Ce roi hébreu manifeste l'exil des malédictions,
Car il a dit à son peuple que l'homme pur
vit pour l'union
Libre avec Dieu comme Ra égyptien des circoncisions.
Dieu ne lui ouvre nulle révélation
vraie comme à Platon,
Ne soutient nulle phrase des voleurs d'idées hors
leurs trônes.
Qui connait bien Absolu, n'était adoré
par personne
Et, comme Socrate, ne se divinise pas, s'oppose aux
couronnes.
Qui entend Dieu en soi, pour les gens trouve ses
sincérités.
L'on conduit le mensonge de Moïse vers la fidélité
Trop fanatique aux récits bizarres contre
nos vérités.
Ce mythe stupide du menteur cultiva notre mutité.
Dieu est l'Amour, Il répond aux chansons et
invite la Foi
Vers la paix, non à la guerre
infernale opposée aux lois.
Dieu
nous dévoile que beaucoup de "prophètes"
mentent pour les droits
Des religions,
vont "Chez toi, oh Souris" (1) en hébreu des
rois.
Les télépathes chassent nos mots des parfaites
communications.
Qui n'a ni bras, ni pied pour avoir notre crucifixion,
N'a aucune chance sur les paradis faux sans nos
notions?
Pour la lecture des idées, le maudissent nos
trois religions,
Toutes les croyances aveugles (des juifs musulmans
chrétiens)
S'opposent
aux saintes âmes des autres planètes, mais
rejettent leur Bien.
L'extraterrestre
raison n'a nulle croix et chaque clair chemin
Sans leurs mémoires n'est jamais raisonnable
et ne coûte rien?
Crois que le fils de Marie est né du Saint
Esprit Sauveur,
Se lève sa Résurrection. Par celle, Il
devient le vainqueur,
Du temps obscur, il allait aux hommes par le libérateur
Des gros barbares. Pour eux, Christ nous explique
ce trésor des peurs.
La quantité infinie des divins fils l'a l'Univers,
Montre leurs buts aux civilisations cosmiques à
travers
Nos multiformes qui veulent s'approcher d'Absolu
pour faire
Ses harmonies très partielles, où naissent
leurs mêmes fils divers.
L'ordre vitesse de leurs temps fait céder
aux réels rapports,
Mais la folie divinise nos stupides traditions
des corps.
Et les bougies s'obscurcissent sous les lampes.
Chaque temple, hors
De nos symboles, est l'idole. Dieu excuse,
malgré nos mots morts.
- ________________________________________
(1) "Chez toi, oh Souris - alàkh akbàr" en hébreu
Autres poèmes en français
2.23 (2.23 Au palais, se remplace l'oiseau déchassé, (Nostradamus
1555) Modifie le Globe Terrestre, 2.28 (2.28 Le pénultième surnom
du prophète (Nostradamus
1555) Chaque vingt cinq siècles, Dieu
crée, // tourne la Drachme en route, 2.41 La grand' éstoille
sept jours brûslera, (2.41 Pendant sept
jours, la grande étoile brûlera, (Nostradamus
1555) La flamme orageuse des comètes
brûlera l'atmosphère, 2.62 Mabus (2.62 Alors que Saddam
mourra plus tôt, viendra (Nostradamus 1555) Nostredame décrit // l'aujourd'hui
sévère, 2.
75 La voix ouye
de l'impolit oyseau (2.
75 Entend la voix de l'impoli oiseau 2.81 Par feu du ciel la cité
presque aduste, (2.81 Par le feu du
ciel, la cité se brûle, car saigne (Nostradamus 1555) Mais trois mille ans passeront
et sept cent quatre-vingt-dix sept 2.
91 Soleil levant un grand feu l'on verra (2.
91 Le soleil qui lève un grand
feu, l'on verra (Nostradamus 1555) Vers
l'incendie dernier, les ventres 2. 95 Les
lieux peuplez seront inhabitables, (2. 95 Les lieux peuplés seront inhabitables,
(Nostradamus 1555) L'âme de vie prolonge l'être, fait changer
l'air d'atmosphère 2. 02 La teste blue fera la teste blanche (2. 02 La
tête bleue se fera cette même tête blanche Ces esclaves, nous parlons, (H040) Et l'autre qui a sa grande confusion
& tarde repentance la voudra ruiner, seront trois regions
par l'extreme difference
des ligues, c'est assauoir la Romanie, la Germanie,
l'Espagne, qui feront diuerses sectes par main
militaire, delaissant le 50. & 52. degrez de hauteur (H041) feront tous hommage des religions loingtaines aux regions de
l'Europe & de Septentrion de 48. degrez
d'hauteur, qui premier par vaine timidité tremblera, puis les plus
occidentaux, meridionaux & orientaux trembleront,
(H042) telle sera leur puissance, que ce qui
se fera pas concorde & vnion insuperable
des conquestes belliques.
De nature seront esgaux : mais grandement differents de foy... (H040) Le deuxième d'ailleurs à
la confusion de celui-ci premier, n'hésitera pas à vouloir le
ruiner et aura 3 pays adhérents des ligues distinctes, à savoir
l'Italie, l'Allemagne et l'Espagne qui enfanteront leurs divers partis
militaires. Ces mêmes ligues seront, malgré leurs ressemblances
extrêmement différentes, de côté en laissant le 50e
et le 52e degré de l'Angleterre, (H041) et ces états feront certaines
hommages aux religions lointaines, on aura lieu surtout du 48e
degré à l'Europe du Nord, où malgré des accords de
paix, l'on commencera à trembler. (H042) &Puis tremblera presque l'Europe
entière jusqu'aux pays les plus occidentaux, les plus méridionaux
et les plus orientaux en Russie. Leur puissance sera telle qu'ils
réaliseront des alliances et des unions invincibles par leurs
conquêtes guerrières. Ces pouvoirs seront militairement
égaux de leur nature mais grandement différents de leur
croyance.... (Nostradamus, de sa lettre au roi de la France Henry II) Et en Europe, il n'y a aucune
démocratie, (H046) & sera au moys
d'octobre que quelque grande translation sera faicte,
& telle que l'on cuidera la pesanteur de la terre
auoir perdu son naturel mouuement,
& estre abismee en perpetuelles tenebres, seront precedens au temps vernal, & s'en ensuyuant
apres d'extremes changemens, permutations de regnes,
par grands tremblemens de terre, (H047) auec
pullulation de la neufue Babylonne,
fille miserable augmentee
par l'abomination du premier holocauste, & ne tiendra tant seulement que
septante trois ans, sept moys, (H048) puis apres en
sortira du tige celle qui auoit demeuré tant
long temps sterille... (H046) Ce règne sera aussi le plus
obscur et le plus ténébreux qui ait été depuis la
création du monde jusqu'à la mort et passion humaine et de
là jusqu'ici, et ce sera au mois d'Octobre qu'une grande translation
aura lieu, à tel point que l'on croira que (Nostradamus, de sa lettre au roi de la France Henry II) Que mon peuple était //
contre son grand pays, Alexander Kiriyatskiy sur RuTube на рус. en russe EXIT
Bien tost après le prince parvenu:
Combien qu'hors fleuve ennemi repoussé
Dehors saisi trait d'oyaseau soutenu.
Tard, bientôt combien d'eau, le prince est parvenu?
En dehors des fleuves, l'ennemi s'est stressé,
Car le trait de l'oiseau est
saisi et soutenu.
Chère machine du temps, orchestre
Par le vingt troisième
Siècle, sa vitesse énorme
Change et explose les formes
Tous deviennent leurs crèmes.
Au passé, l'action stupide
Bat la vie! Par celle si vide,
L'autre prévision
A quel but? L'espace amène
Aux questions: "Aux âmes humaines
Dieu donne le grand
trône?"
Dieu est en dehors des ordres
Du présent. Le temps peut mordre
Les imperfections.
L'homme n'était jamais l'image
D'Absolu. Rompt son voyage,
Toutes ses illusions.
À l'ère chaude Mésozoïque,
L'homme est dans sa fantastique
Digne machine du temps.
Pour manger, tue une mouffette.
Celle-ci ne donne pas ses bêtes
Pour remplir les champs.
Le futur ira par l'autre
Route qui ne sera plus notre
Règne des mammifères.
Les reptiles mangèrent l'ancêtre
Des souris pour ne pas être
L'homme sur notre Terre
Au cerveau des raisonnables,
Que l'oiseau fasse sa plus stable
Civilisation,
Sous le bec est la poitrine,
Leurs croyances sont divines,
Veulent dire à l'homme:
"Non!"
Le destin de la nature
Des oiseaux crée sa peinture.
Leur bouche c'est leur bec.
Car l'époque des dinosaures
Ferme nos voyages sans heures
Que mon sang soit sec.
Au passé, notre mesure
Du temps ouvre nos blessures,
Dieu corrige l'histoire,
Cache nos dangereux ouvrages,
Ne laisse pas à l'équipage
De faire ce cauchemar.
Prendra Diane pour son jour et repos:
Loing vaguera par frénétique tête,
Et délivrant un grand peuple
d'impôs.
Prendra Diane pour son jour de repos:
Et loin voguera par la frénétique
tête,
En délivrant un grand peuple
de l'impôt.
Son invisible moteur // de nos esprits, trouve l'union
Par les niveaux des étoiles // L'innovation nous écoute,
Celle-ci reflète tous les temps // pour l'infinie rotation.
La subconscience de l'homme // prend les idées de sagesse,
Fait diriger la planète, // par seules les femmes en raison
Qui sauvent la télépathie,// l'ordre des
enchanteresses,
Coulent la lumière de la lune // plaine, à la méditation.
Le troisième œil de Dhyâna // donne la frontière, par
sa ride,
Entre deux indépendants // de nos conflits. En sanskrit,
La prophétesse l'a prévu // dans les douleurs d'Atlantide.
Pour le futur de nos races, // sa prophétie est décrite.
Nos malheureuses âmes en feu // quittent, en futur, notre Terre,
Nostradamus nous conduit // par les antiques souvenirs.
Et quel destin nous attend? // L'œil de Dhyâna doit se taire,
Dont je démêle son mystère // qu'il ne faut pas revenir.
Sans mal, l'un est l'animal, // l'autre nettoie sa conscience.
Mais tous savent lire les pensées // de tout le monde partout.
Qui a des ailes, perd ses pieds // par leur belle indépendance
Pour séparer ceux tombés // et ceux qui ont le bien doux.
Nuée fera deux soleils apparoir:
Le gros mastin toute nuit hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir.
Car son nuage obligera deux soleils à apparaître
Toutes les nuits, le gros chien hurlera,
Le grand pontife changera la terre pour naître.
Les villes tomberont, l'homme habitera sous leur terre.
En raison de l'air chaud, un chien hurlera sous les murs.
Leurs grottes sauveront la vie à travers les sous-sols obscurs.
L'attaque des météores ouvrira leur nouveau siècle dur,
Alors que deux soleils couvriront l'enfer par nos blessures.
Les individus choisiront les élites en mystère
Avec un prophète pour sauver, par nos âmes, leur lumière.
Titan de Saturne deviendra le but des navires
Spatiaux, ses robots tenteront de construire
L'énorme station pour faire là, par le méthane,
l'oxygène.
Mais la coupole ne défendra plus nos maisons humaines.
Et l'être devra habiter dans leurs villes souterraines,
Où, comme le loup, criera un chien sous les antennes
Sans vie. Son urne paraitra une prison pour souffrir.
Nos rêves ne seront que le ciel, comme le cosmos de Sir.
De gens et beste
une horrible défete
Puis tout à coup la vengeance on verra,
Cent, main, soit, faim, quand courra la comète..
Une défaite horrible des gens et des bêtes:
Puis, tout à coup, la vengeance, on verra,
Que cent mains aient faim, lorsque courra la comète.
Où ce siècle a // soif des autres
guerres.
Dans les pays sauvages, // passe leur l'Âge
de Pierre,
L'art de chimères.
L'occident a peur // de leur haine profonde.
Qui a faim d'argent, // unira ses ondes
Contre l'industrie // de nos vies secondes,
Par tout ce monde.
Manque l'or droit sur // leur reconnaissance,
Nulle consécration // des perdus sans
chance
Idéalise Saddam // en l'Europe, en transe,
Sans indulgence.
Tous voient la raison // d'être, pour
laquelle,
Son Coran formule // quelle croyance belle
De l'âme rejetée! // Naît tel
vite modèle
Des morts fidèles!!!
Nos Diplômes d'Europe // nous annulent
Leurs Titres,
Sont comme mes carnets // de libre arbitre,
Leur mafia oblige // à faire leurs
pupitres,
Rompt sous ses vitres.
Que nos Masters Deux // de toutes vos Sorbonne
Distribuent, partout, // les réclames
mignonnes
Sous la pluie sans fin, // l'esclavage pomponne
Quelles richesses bonnes!
Et nos professeurs // portent la réclame,
Ne sont pas entrés // dans le gris
programme
Des États Unis. // Qui oublie leurs
drames,
Aide à Saddam, et
Coule les lacs salés // très froids dans
nos bottes,
Lorsque je me traîne, // où les buts
pilotent.
Mon corps se mouille pour // la réclame idiote:
"Goût de biscottes".
De l'aube à la nuit // doit tomber
l'averse.
Mais
Où nos larmes chaudes // ont leurs causes
diverses,
Aux vents se versent.
Les douleurs s'abaissent. // Sur ses pierres
dures,
Tu ne chemines plus... // Tirent plusieurs
piqûres.
Aux gazons, l'on voit // l'herbe douce. Ses cures
Sont moins obscures.
Devenons misères! // Les revues pesantes,
Dans les "publie-sacs" // noirs nous alimentent,
L'escalier amène // aux Riches qui
nous mentent,
Montrent leurs plantes.
Sous Leur pOrte est // une
chaise en plastique,
Ce miracle jette // le plaisir cosmique
Aux esclaves mouillés // Le chauffeur
panique:
"Levez vos cliques!"
Donne nos yeux aux pieds! // Nos passions
reviennent.
Deux genoux calculent // chaque coup de mes
veines,
Apparaît Saddam, // où retiennent
leurs chaînes,
Sonnent nos sirènes.
Nostradame prédit // les
effervescences
Du temps relatif. // L'homme sans expérience
Ne doit pas savoir // toutes ses providences
Comme leur absence.
Sur le canon de respiral éstage
Si haut viendra du froment le boisseau,
Que l'homme d'homme sera Antropophage.
Sur le canon, où respire chaque étage:
Car le froment haut viendra du boisseau,
L'homme mangera l'homme en Anthropophage.)
Le bonheur du miracle en rage,
La couleur des épis vous éduque un enfant
Qui respire, dans le ciel, par chaque âge.
Les tentures transformèrent son plancher de l'enfance,
Dans l'image du jaune adolescent,
Son chemin s'attira, par sa reconnaissance,
À l'heure de l'espionnage et descend
Au jeune homme qui écoute ses chanteurs populaires.
Dans chaque mal, dort l'abime des ordures.
Mais l'absence de Muse a les voix de chimère,
Se soulève par plusieurs aventures.
Par-dessus des fenêtres volaient les corbeaux,
Sur l'appui s'est assis l'un des freux.
Celui-ci interdit de donner un verre d'eau
Aux derniers, qu'ils soient morts malheureux.
Au Monarque au trône toute la Terre se soumet,
Tous les autres hommes sont les zéros.
Sans lumière, sa couronne saura être charmée
À travers nombreux ordres très
gros.
Il prendra le pouvoir sur beaucoup de pays
Dans nos ans liés à la
liberté,
Brûlera ses amis à l'époque de leur nuit,
Notre être devra s'abonder.
L'urne menace encore Ceucalion,
Vixée Sardaigna par
la Punique fuste,
Après que Libra prend son Phaëton.
L'urne qui menace, encore, Deucalion,
Par sa Punique des Vaisseaux, est en Sardaigne,
Plus tard, leur Balance prend son Phaéton..
De la naissance de Christ, les météores
brûleront la tête
De la plastique ville en gomme. Sa coupole, sous
Ne défend plus du soleil mais chasse l'homme
des sous-sols au front
Contre le fleuve en métal et à l'Ordre
de Deucalion.
L'Art des croyances dira pourquoi s'est
explosé Phaéton
Entre le Mars et le fluide Jupiter pour donner la
chance
Aux mammifères de faire l'homme à la constellation
Balance.
Notre élu montrera ses étoiles des
Gémeaux, l'urgence
Aux raisonnables perdus leur patrie et leur rêve
dernier
Qui attendra l'aide des constellations du Cancer,
est lié
À l'illusion sur
L'air sans coupole rompue nous enverra les rayons
des nuits,
Les mutations génétiques aimeront sa
sociale hernie,
Refuseront le prophète au pouvoir du menteur
fourni.
Et soutiendront leur tyran qui voudra voler au
Saturne.
La Providence prédit le destin de son être
diurne
Sur le Titan, où ce culte devra tomber dans son urne,
Lorsque la constellation de Balance brûlait
le Phaéton pour nous,
Dieu a prévu que, parfois, l'homme devait
être à genoux.
L'imperfection des pécheurs tomberait avec
l'ordre mou,
Si nos stupides jetaient cette prophétie,
par les animaux
Dans l'atmosphère du Saturne. La constellation
Gémeaux,
Fait la lecture des pensées provoquer
nombreuses guerres sans mot.
Bruit et clarté vers Aquilon tendant:
Dedans le rond mort et cris l'on orra
Par glaive, feu, faim, mort et attendant.
Le bruit et la clarté vers Aquilon tendent:
Dans le rond mort et les cris l'on aura
Par leur glaive, feu, faim et mort ils attendent.)
De nos vaisseaux cosmiques veulent prendre
Nos plantes et nos animaux.
L'invite Saturne au Titan,
Fait une station, car sait comprendre
L'homme qui décrit, par les forts mots,
Qu'il a sauvé tous les rameaux
De notre vie chère qui l'attend.
Dans une trémie qui est l'armoire
Sous une montagne. Partout, sans gloire,
Sous ces feux morts il n'y a nul ciel.
Sa lave détruit l'esprit rompu.
Mais nous supprime toutes les mémoires.
L'espoir, comme le passé partiel,
S'oublie sous notre poids mutuel.
Mais les cerveaux perdirent leurs rues
Derrière nos dos. Le mal a pu
Dicter le culte d'une personne.
Et sa télépathie couronne
Le règne qui semble absolu.
Dans ces vaisseaux, leurs gens quittaient
Toutes les pensées humaines sont lues
Et la fusée vole dans leur flux!
Mais, à genoux, l'humanité
Aveugle ne peut plus goûter
Notre beauté d'indépendance.
Il est Dieu, notre Providence.
L'homme imparfait endure son tort
Du temps bref de la dictature.
Mais le Titan cesse son échéance.
Ce grand voyage finit, la mort
Arrive au dictateur, son corps
Descend dans l'atmosphère du pur
Géant Saturne en dehors
De leurs souffrances, hors des murs.
Pour chans avoir grande division:
Règnes livrez à prudens incapables,
Lors les grands frères mort et dissention.
Pour chanter leur grande division:
Livre les Règnes aux prudences incapables,
Mort des grands frères par la dissension.)
Du Titan Saturne crée l'homme qui a laissé la Terre!
Les nouveaux concepts nous montrent la station particulière,
Où dans le passé, sans diable les Atlantes s'en sauvèrent.
Le cerveau de cette planète envoie vite, aux cellules en fluide,
La mémoire et la conscience du dernier prophète. Nous guide
Vers l'ère qui nous débarrasse de chaque émotion hybride
D'animal. Sans mal, nos sciences des hommes et nos arts sont vides.
Les individus s'unissent dans leur claire macro intellect
Qui n'a pas besoin des prix comme des punitions d'affect.
Sans raison, l'autre plupart a peur et veut tuer tous ses mecs
De la pure télépathie, prévision antique des grecs.
Et Saturne raisonnable, croit que son homme animal
Ne vit pas sans ennemi, car son but n'est pas sans mal.
Il prie Dieu que Jupiter ne nous ferme pas l'étoile,
Pour l'obscure Titan afin de nous voler, où Dieu dévoile.
Tous lisent les pensées des autres et transforment leur acteur
Dans ce sacrifice de torts responsable de l'erreur.
Dont ses funérailles déversent le pardon par les rêveurs
Qui brûlent le pouvoir du trône et cessent d'être les
pécheurs.
Cette nouvelle lumière sépare dure les gens pures et leurs
sauvages,
Que pendant certaines années, le Titan fasse le passage
Des hommes de conflits aux Êtres Raisonnables sans ombrage,
Aux constellations de l'autre galaxie, fixe leur voyage.
Les hommes modifient leur monde intérieur pour faire l'union,
L'harmonie prend l'Univers galactique dans les chaînons,
Absolu permet aux âmes de sentir les prévisions
Et sa providence brame que, de Dieu, nous l'obtenions.
Autant de mal que France a fait leur bien.
Mort a l'anthenne grand pendu sus la branche,
Quand prins des siens le roy
dira combien.
Autant de ce mal que la France leur a fait leur bien.
Le grand mort est pendu. Il a l'antenne sous la branche,
Lorsque, aux princes des têtes, le roi dira combien.)
Ont construit Babylone
À travers les boulons
Sur le Tibre.
Reconnu est le roi,
Aujourd'hui, c'est pourquoi,
Et je n'ai aucun droit
De l'âme libre.
L'Existence parfaite
Tue mon vers, car Rejette
Ce récit du poète
Par quelle fibre
Des menteurs et Pratiquent
L'obtention fantastique
Pour l'asile politique.
Cette vie vibre
Entre les exigences
Des lieux qui donnent une chance
De monter. L'expérience,
Qui existe,
Dit: "J'ai peur des tyrans,
Lorsqu'il faut, pour l'argent
Comme il y a quarante ans
Vers l'heure triste."
Un vieillard canadien
M'a rompu mon destin.
Il s'appelle Michel
Venne
Journaliste.
Il défend quels fidèles
Aux pouvoirs, où le ciel
Ne plaît plus au bordel
Des artistes.
L'heure rôle fort des acheteurs
Te conduit au bonheur
À quels riches demandeurs
De l'asile.
Qui est persécuté,
Bat leur sécurité,
Rompt, par la vérité,
Qui dévoile leurs bougies,
Sans aucune énergie,
L'entraîne sa mort, agit
Dans les villes.
Je deviens dangereux
Aux bourreaux trop heureux,
Sur leur feu, coule l'hébreu
Ce jaune huile.
Lorsque, comme au bandit,
L'état juif m'interdit
De faire tout, Michel dit:
"Quoi tu chantes?"
Il ajoute: "Du pouvoir,
Te menace quelle mort noire
Sous le ciel?" Chaque gris
C'est ma tente.
Il déclare, en même temps,
Ce statut pour une dame
Qui revient, à ses champs,
Très contente.
Paye non vingt mille dollars,
Afin de recevoir
Cet asile pour l'histoire
Qui s'invente.
Comme à l'époque du stalinisme en Russie.
Mon nom est dans la liste noire, secrète - "Merci",
Crie mon poème aux yeux des démocrates aussi.
Je suis Sacha, le personnage des "Fils d'Arbate"
De Ribakov. L'on nous sépare des masses en
boîte;
Mais ne jette pas dans les prisons, les ordres battent
Pour chaque désir de nous lever parmi les rates.
Nos stalinistes d'occident persécutaient
Les professeurs, partout, aux Universités
Qui essayaient de nous inscrire, l'on leur dictait
De retirer leurs lettres par leur
volonté.
Que l'on ne nous permette jamais de travailler
Sous nos officieux noms parmi les ouvriers!!!
Car sous l'averse, l'on oblige à nous mouiller
Que, comme plusieurs drogués, nous nous mangions derniers.
Que nos espoirs soient décédés dans la souffrance
Que nous perdions, comme les ivrognes, l'indépendance
Des démocrates d'Europe pour son Staline. En France,
Nous les prions, par ses esclaves, leurs indulgences.
Mais si nous soutenions nos thèses, et nous aurions
L'argent des clans pour l'air des gestes sans crayon,
Les rois perdraient leurs responsables des rayons
Illuminés la vérité que nous verrions.
Car toutes mes nuits passaient // dans les foyers des pauvres
Pendant ma vie sans fleurs // en règne d'obscurité,
Que cet enfer produise, // par les douleurs, mes œuvres
Comme ma syllabe en vers // tentait de refléter
Que je n'ai pas mes droits // de travailler par l'ordre,
Et rédiger ma thèse, // n'est pas aide à Genève,
Or, ma recherche en// Europe oblige à mordre
Mon âme pour mes études, // absence de mon rêve.
L'Amérique démontrait // que les jours sont nos nuits,
Affirmait que l'idée // des communes c'est le bruit.
Son Europe l'invitait, // car l'on n'a pas détruit
Mon État concourant. // Pour lui rompre le dos,
Tous de nos ennemis // ont reçu leurs cadeaux
Par plusieurs prix Nobel // qui faisaient très prudes aux
Mots des vers qui ne coûtent, // aujourd'hui qu'un verre d'eau
Et donnait les travaux // des meilleurs professeurs
Aux stupides soviétiques // qui n'avaient nulle saveur
Par beaucoup d'ans non plains // aux écoles de soudeur:
Pour leur faire des armées // contre l'île du bonheur.
Qui n'avait aucune languE, // sauf le russe,
était lié
Aux plus hautes sociétés, // où habitent aux palais,
Car ils ont obligé // la Russie à aller
Vers l'abîme de l'enfer. // À l'Europe, ce pas plaît.
Il n'y a plus mon Union // qui pouvait contredire
Aux Rois illuminés // par le Cosme bien pire,
Au diamant de la dure // hiérarchie en plaisir
Du control sur chaque âme // et du gris souvenir.
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